ZONEMETAL

[Glo]

Eu égard au comportement de notre ci-devant propriété, qui comme chacun peut le voir se tortille en tous sens pour tenter d'échapper à notre juste possession, au mépis du droit des Ministres à disposer eux-mêmes du cul de leurs administrés, a fortiori au mépris du droit de la Guerre, qui nous avait vu vaincre de haute lutte en joute rhétorique et exige que triomphe nous soit fait, au lieu de ces rebellions internes à la Cause,

nous réclamons que mortification soit faite au cul du sieur Ventoline, pour punition de ses méfaits et atteintes à la Cause (par le biais de ces insultes à un Ministre dévoué et intègre).

Justice sera rendue demain dès l'aube, à l'heure où Blanqui m'accompagne, par le supplice du string-qui-dépasse de Jennifer Lopez, qui sera appliqué comme de juste autour du cul du sieur Ventoline, et fixé par de la colle en bâtonnet.

[ventoline]

Ah ça, triste sire ! La mortification -même partielle- d'un membre de l'intelligentsia prolétarienne, porte atteinte aux principes les plus élémentaires de franche camaraderie.

Et c'est là grande faute.

Que mes parties me soient restituées avant potron-minet, ou l'état d'urgence nucléaire sera déclaré à qui peut l'entendre. Vous voila bien fièrement sommé, traitre à la cause.


Cela étant, votre obtemperation acquise, tel camouflet ne saurait rester impuni. Je requiers la peine maximale de douze lunes de fessement public et continu à votre endroit.

[Glo]

Le porteur de notre possession oublie manifestement qu'il s'adresse à un chouette, fondamentalement et s'il y a pris garde.

Par conséquent un fessage assidu ferait courir de graves risques au fesseur. Un cloaque fessé réagi globalement comme une assiette de soupe fessée. Plartch plortch. A ceci près que la soupe n'en est pas, dans un cloaque.


Ce seul fait suffit à prouver combien le sieur Ventoline manque de discernement et de prévoyance. Or ce sont là deux qualités essentielles pour un guide de la Révolution.

Quant à moi je n'oserais m'avancer, comme il le fait lui, jusqu'à remettre en cause sa viabilité en tant que membre de l'intelligentsia ; la Cause passe avant tout, et rien n'est plus ennemi de la Cause que les dissentions internes.
Ayant compris cela (au contraire semble-t-il de ce dangereux individu), je ne demanderai qu'une autocritique en bonne et dûe forme.



Elle devra impérativement commencer par ces termes : "Je suis un gros connard de métalleux sans cervelle", devra obligatoirement comporter sept fois au moins le nom de Glo associé dans une tournure emphatique à l'idée de beauté et à celle de gloire, et se terminer par "c'est pourquoi en vérité je vous le dis, ma paire de miches est à Glo".

[ventoline]

Ahah, odieux serpent !

Soyez bien assuré de ma riposte prochaine envers vos tristes affabulations diffamantes, comme de toujours férocement conquérantes sous couvert d'une démagogie de bon aloi.

La cause du peuple est mienne.

Mais pour l'heure, écrire debout me pèse. Je ne vous salut pas, faquin.

[myra]

Moi je propose qu'on lobotomise tous en coeur Hardo'z pour avoir osé critiquer les valeurs de notre Révolution Prolétarienne. Parce que je m'ennuie.
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Ah si j'avais des ailes.

[Hardo'z]

Moi je propose que tu ferme ta grande gueule et que tu arrêtes de me faire chier étant donné que ce trip avait l'air d'avoir cessé...
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Memento quia pulvis es, et in pulverem reverteris.

[Ryolait]

En aucun cas la Révolution Prolétarienne ne cessera, car elle est immortelle.
Mais son principal participant étant fatigué de tout ce qu'il a accompli ces derniers jours, il a pensé, avec justesse, qu'il pouvait s'accorder quelques jours de repos.
EN TOUT CAS, Hardo'z sera fusillé pour sa bêtise infinie, car il en est ainsi, en plus il est malpoli.

In sollemnitate Natalis Domini,
HAhaha, qu'est ce qu'on rigole.
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Par la gr?ce du Seigneur et de la R?volution Prol?tarienne.

[Hardo'z]

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Memento quia pulvis es, et in pulverem reverteris.

[Hardo'z]

[myra]

Ta gueule, condamné.
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Ah si j'avais des ailes.

[Glo]

Nous, Glo, ci-devant Ministre du Bon Sens Giratoire, au regard des non-propos tenus par le dénommé Hart d'Oz, considérant qu'iceux n'en sont pas mais consistent en un usage forcené et frénétique de "smileys", proposons, en tout état de cause, qu'on l'encule proprement pour non-originalité totale et non-respect du véritable métallique esprit qui a cours en ces lieux, à savoir l'originalité braillarde et paillarde, et l'imagination dans le supplice et la fleur langagière.

Ce jour, le 11 d'avril deux mille six, à Gloville.
Nous vous prions d'agréer bien profond notre grosse fonction.

[Hardo'z]

[Ryolait]

Par la gloire de la Révolution Prolétarienne, nous pouvons rigoler un bon coup.
Ha ha ha ha ha ha.
Si tous les ennemis de la Révolution Prolétarienne sont aussi crétins, m'est avis que l'intelligence de la Révolution Prolétarienne ne mettra que fort peu de temps avant de s'installer pour des millénaires dans les esprits de chaque être humain.
Pauvre Hardo'z, te supprimer serait faire preuve d'eugénisme en empêchant quelconque être vivant à copuler avec toi. Cela ne me surprend pas que tu n'acceptes pas la Révolution Prolétarienne.

In sollemnitate Natalis Domini,
Que le Seigneur prenne pitié de son être et le regarde d'un air miséricordieux, en disant "Tsst tsst tsst..." en formant une moue avec sa bouche.
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Par la gr?ce du Seigneur et de la R?volution Prol?tarienne.

[Hardo'z]

Je ne saurais exprimer le dédain et le mépris que je ressens à ton égard mon pauvre Ryolait... Allez je lâche l'affaire comme ça tu pourras te branler un bon coup en pensant à "ta victoire"... petit con va...
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Memento quia pulvis es, et in pulverem reverteris.

[Glo]

Nous aimerions savoir si tu nous laisses ta copine, en partant.