ZONEMETAL

[Doc]

Lundi 03 Décembre, Anathema et Porcupine Tree à l'Olympia.

Eh ben mes amis ce fut un concert violent comme une couille de dromataire libidineux séchée au Soleil. Mis à part la pluie et le retard exponentiel de Poc. Mais il m'a sauvé la vie alors je pardonne, dans ma grande bonté.

Anathema, sympa.

Mais alors Porcupine Tree, une tuerie. C'était génial. Un son énorme, pas une fausse note, superbe. Deux heures de transe sans interruption. J'ai pas vu le temps passer.

Poc va surement faire un compte rendu plus détaillé. Et avec photos !
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[Doc]

Et aussi : Steve Wilson a annonçé la sortie d'un mini disque de quatre morceaux. Il en a joué plusieurs et ça pourte sec ! A écouter.

Edit : et d'après ce que j'ai entendu dire, Robert Fripp fait carrément la guitare lead sur un morceau. Warf faut que j'écoute ça vite vite vite !
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[myra]

Sachez que je vous déteste.
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Ah si j'avais des ailes.

[Doc]

C'est bien normal.
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[PoC]

Ah mes amis quelle belle soirée en effet !
C'est donc sous la pluie et en retard que j'arrive à l'Olympia...
Nous entrons tout de même dans les temps avec l'ami Doc.

Anathema
A peine le temps de se poser que nos amis d'Anathema - décidement toujours aussi ponctuel - débute le show.
20 heure pétante et le magnifique son de Danny résonne à Paname... le pieds.
Habitué aux premières parties de Porcupine Tree (on les avait déjà vu à l'Elysée Montmartre en 2005), le groupe sait qu'il va retrouver son public. C'est donc en terrain conquis que les gars assurent le steak tout au long du set.
Rien à redire sur leur prestation : le groupe déborde d'énergie, s'investit dans chaque morceau, communique avec le public, en rajoute un peu des caisses pour le spectacle, bref c'est très clean.
On notera également la belle idée d'inviter la jolie Lee Douglas sur le morceau A Natural Disaster. Avec un finish a cappella impressionant d'ailleurs.
Petit bémole sur la playlist, avec un peu trop d'instrumental à mon goût.
Ceci dit, juste au moment où j'allais crier en direction de la scène un "Fllyyyyiiinnggg !!!", Vincent enquille les premières notes du morceau ! Economie d'énergie, symbiose d'esprit, je suis comblé.
En bref, je fus bien content de les revoir sur scène, surtout dans une aussi belle salle !

A noter également que j'ai complètement chié mes photos...






Porcupine Tree
Une bière et une vie sauvée plus tard, nous revenons dans la salle au moment où les lumières se tamisent.
Les premières notes de Fear of a blank planet se font entendre et l'arbre hérisson débarque sur scène !
Comme à son habitude, le groupe s'est muni d'un écran géant qui bombarde de clips toujours très travaillés et parfaitement calés avec la zik.
La musique parlons-en d'ailleurs.
Un TRUC DE MALADE MENTAL.
Rarement (voire jamais) entendu un son aussi parfait sur un set aussi long ! Deux heures et pas une fausse note. Complètement hallucinant sérieux. Moi qui venait pour Anathema, j'en ai presque oublié leur set tellement celui de Porcupine m'a troué l'cul.
Autant sur la tournée de Deadwing, j'avais senti le p'tit Steven tendu et blasé d'être là, autant en cette soirée ce fut un homme libéré qui enchaînait les morceaux d'une manière exceptionnelle. Les très bonnes critiques (méritées) de Fear of a blank planet on du détendre le Monsieur.
Le groupe a d'ailleurs enquillé quasiment tout l'album.
Très peu de Deadwing donc (une piste au compteur).
Les tubes d'In Absentia évidemment et le reste pioché dans leur disco.
En bonux fraîcheur également, les morceaux exclusifs dont parlait Doc.
Que dire de plus à part que s'il fallait être quelque part ce soir là, c'était clairement à l'Olympia !
Une tuerie mes amis, une T U E R I E !

Allez, encore une salve de photos râtées... fock.








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Tu la sens cette bonne odeur de fitness ?!
© € ™ $ - phrases cultes

[Doc]

Ouai le son était tellement bon que pendant le concert j'ai plus ou moins découvert la puissance de morceaux que j'avais un peu zappé, type Sleep Together sur Fear ou How is your life today sur Lightbulb. Vraiment les disques de Porcupine Tree, y a pas un morceau à jeter.

Moi le seul bémol c'est que je regrette un peu qu'ils aient perdu du temps à jouer des machins comme Lazarus ou Trains, au lieu de nous pousser un petit Lightbulb Sun ou Arriving Somewhere. Mais bon ! Plus j'y réféchis plus je trouve que Fear of a blank planet est de très loin le meilleur disque de Porcupine Tree, et on l'a eu, effectivement quasi entier.

Beau résumé Poc.

J'ai déjà hate qu'ils repassent ! Steve Wilson, si j'ai bien compris ce qu'il marmonait, a parlé d'une date l'année prochaine à Paris !
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[PoC]